« Dans la nuit du 15 au 16 septembre, le président Macron annonce, plusieurs semaines après les faits, la mort du chef du groupe jihadiste Etat islamique au Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid al-Sahraoui. Entre realpolitik et « multilatéralisme dérégulé », la victoire militaire française sur fond de redéfinition stratégique dans le Sahel reste à modérer… »