Résumé : Les Maisons des adolescents ont un rôle essentiel dans la prévention des radicalisations. Celle de Strasbourg (67) déploie des axes de travail en prévention secondaire avec une évaluation du danger éventuel dans lequel se trouve l’adolescent, une orientation si nécessaire, et un accompagnement à la fois symptomatique et ciblant les vulnérabilités individuelles et familiales. Devant ce nouveau symptôme adolescent, l’accompagnement, pensé dans la durée et idéalement en partenariat, doit s’adapter.